vendredi 24 avril 2015

BABOO ou le RAP Discount




Se retrouver à devoir écrire sur ta ganache, y a pas à dire, c’est déjà trop trash. En parlant de oit, Te faire d’la pub, clasher tes Watt, c’est déjà faire du sub. Car ta musique est bidon, et je parlerais même pas de ton exprefion…Tu parle la France comme un mater en souffrance. Et tes sons dansent comme un ordi en transe. Sujet verbe complément, c’est pourtant pas dément. On s’enrichit en apprenant, demande à ta maman.  Et on n’entend que toi, comme si ton avis faisait foi…Mais, Baboo, t’es au rap et à la philo, ce qu’est pour nous, la Morano, une erreur de casting, un traiteur de pudding.
Bienveillant pour les Neuneu, je vais, maintenant, jouer ton jeu et nonobstant ton cortex adipeux, je vais t’apprendre à parler mieux…Car belle est la langue française, dommage que tu n’y sois pas à l’aise. La pensée et le langage sont deux amants et quand on entend tes gribouillages, on pense au vide, sidérant ! Moi, je kiffe le rap, le vrai. Celui que tu tapes, il est pas frais, beaucoup trop niais et sans effet. Tu t’la racounte mais t’es qu’un Babtoo, Ton rap est Discount, comme à Babou…
Voilà pourquoi, en cet instant pédagogique, je veux reprendre ta prose merdique.